JFK L’assassinat les questions
Dallas 22 novembre 1963

Site dédié à l’assassinat du Président Kennedy et à l’étude des questions sans réponse pleinement satisfaisante près de 60 ans après les faits.

MARRS Jim

Déposition faite devant l’ARRB agissant sous couvert du JFK Act


par Pierre NAU

Dallas, Texas – Audition du 18 Novembre 1994


Monsieur Marwell :
Monsieur Jim Marrs est-il ici ? Monsieur Marrs.

Le Président Tunheim
Bonjour Monsieur Marrs.

Monsieur Marrs :
Bonjour.
Monsieur le Président, Mesdames Messieurs, tout d’abord, mon nom est Jim Marrs. Je suis natif de la mégapole de Dallas-Fort Worth. Je suis journaliste et en tant que tel j’ai travaillé pour plusieurs journaux du Texas incluant pendant plus d’une décade le Fort Worth Star Telegram voisin.
Durant ma carrière, j’ai eu l’opportunité de rencontrer beaucoup d’individus clés de la saga de l’assassinat de JFK. Etudiant au collège, j’ai été au Carousel Club et j’ai rencontré Jack Ruby avant l’assassinat, j’ai également interviewé Marguerite Oswald, Marina Oswald, John De Mohrenschildt, le Général Edmund Walker, et bien d’autres incluant des témoins de Dealey Plaza, des officiels de la police et du gouvernement.
Depuis 1976, j’ai enseigné un cours relatif à l’assassinat de Kennedy à l’Université du Texas à Arlington et bien sûr, mon livre « Crossfire : The Plot to Kill Kennedy » a été la base du film JFK d’Oliver Stone.
Maintenant que j’ai établi qui je suis, laissez-moi, puisque c’est à moi de débuter, laissez-moi vous souhaiter la bienvenue à et si vous n’êtes pas venu ici auparavant, laissez-moi vous assurer que vous allez trouver Dallas hospitalière et conviviale et j’espère que votre séjour ici est agréable.
Comme je suis sûr que vous êtes en train de devenir très au courant, l’assassinat de JFK est vraiment un des plus grand mystères de meurtre du monde. Plus vous étudiez ce cas, moins vous êtes certain de savoir. La preuve médicale qui devrait être la meilleur preuve est en totale contestation (diarray), même des autorités médicales éminentes ne peuvent être d’accord sur ce que cette preuve est moindre que ce qu’elle montre. Des témoins en preuve physique et les premiers rapports du FBI ont été remis en cause et à juste titre.
Dans mes propres recherches, j’ai trouvé de trop nombreux exemples de rapports du FBI qui ne reflètent pas avec exactitude ce que des témoins ont essayé de leur dire et d’autres activités qui ont été menées de façon à incriminer Lee Harvey Oswald. Mais pour mettre le doigt (crux) sur le cas, j’aimerai vous présenter ce matin ce que je considère être le clou de cette affaire et il est maintenant disponible, il est dans le domaine public et il peut être trouvé à la page 193 de la transcription de la Commission Warren en date du 27 janvier 1964. Ceci se situe bien avant qu’elle soit entrée dans sa phase d’investigation, bien avant qu’elle n’ait atteint toute conclusions définitives.
Comprenez que le film de Zapruder établissait que la séquence de la fusillade s’était produite en 6 secondes et que le laboratoire du FBI avait établi qu’il fallait 2 secondes pour armer et tirer avec le fusil d’Oswald. Ceci veut dire qu’on ne pouvait tirer que 3 coups de feu dans la séquence de la fusillade. Un coup de feu avait atteint Kennedy à la tête, d’après ce qu’on rapporte et s’était fragmenté puis un second coup de feu avait apparemment manqué son but et avait atteint par ricoché un spectateur du nom de James Tague prés du passage triple sous-terrain. Ceci ne laisse qu’un coup de feu à pour les 7 blessures dénombrés sur Kennedy et Connally à la fois. Désormais cette balle unique plus connue comme la théorie de la balle unique est ridicule, mais par la nature de l’argument jetons un coup d’œil à cette théorie du gouvernement.
Le rapport de la Commission Warren déclarait : Le Président Kennedy a été frappe par une balle qui est entrée au niveau de la partie postérieure de son cou puis est ressortie au niveau de la partie basse à l’avant du cou. La balle était passé à travers le cou de Kennedy et elle avait frappe Connally. Ils nous montraient même un beau petit diagramme de la balle passant à travers le cou de Kennedy.
Le problème ici est qu’à aucun moment une balle ne traverse le cou du Président Kennedy. Vous pouvez voir que le certificat de décès établit clairement qu’une blessure est intervenue dans le dos au niveau de la troisième vertèbre cervicale qui se situe entre les omoplates. Ceci est clairement indiqué sur le feuillet de l’autopsie il est marqué au bas qu’il a été vérifié et signé par le Docteur George Burkley, le médecin personnel de Kennedy.
Le rapport de l’autopsie du FBI de Seibert O’Neill dit le Docteur Humes avait localise un orifice qui paraissait être un trou de balle qui se situait sous les épaules et à 2 cm à droite de la ligne médiane de la colonne vertébrale. C’est correct là.
L’agent des Services Secrets Glenn Bennett dans ses notes dactylographiées faites à partir de notes écrites à la main faites moins d’une heure après la fusillade disait, j’ai vu le coup de feu frapper le Président à environ 4 pouces sous l’épaule droite, l’endroit exact.
L’Officier Clint Hill des Services Secrets, qui fut le seul agent à réagir ce jour là, a dit à la Commission Warren – Ils lui ont demandé : Avez-vous vu une autre blessure que la blessure à la tête ? Il a dit : Oui, monsieur. J’ai vu un impact dans le dos à environ 6 pouces sous la ligne du cou et du côté droit de la colonne vertébrale.
Disponibles aujourd’hui aux Archives Nationales la chemise couverte de sang de et la veste de Kennedy, toutes les deux montrent un trou de balle dans le dos à droite de la ligne médiane de la colonne vertébrale. La balle a frappé le Président Kennedy dans le dos.
De retour maintenant à la page 193 du rapport Warren à la date du 27 janvier 1964, nous entendons leur propre Conseiller en chef J. Lee Rankin déclarer : il semble tout à fait apparent maintenant, puisque nous avons une image de l’endroit où la balle est entrée dans le dos, que la balle est entrée sous l’omoplate et à droite de la colonne vertébrale, ce qui se trouve être sous l’endroit où l’image montre que la balle est ressortie au niveau de l’avant du col de chemise.
Vous avez une balle basse dans le dos et vous avez une blessure par balle à la gorge. Si vous liez ces deux blessures et je vous assure qu’ils ne les ont pas liées — car, à nouveau, je m’en remets ici aux propres documents du gouvernement – si vous reliez celles-ci, on a une trajectoire ascendante. Comme chacun sait, c’est de la physique élémentaire, un projectile de forte puissance et à vitesse supersonique ne peut pas se déplacer vers le haut et ensuite changer de direction dans l’espace descendre vers le bas et frapper le Gouverneur Connally.
Non seulement ce document montre le mensonge de la théorie de la balle unique mais il montre encore que la Commission Warren, un organisme official du Gouvernement Américain savait en Janvier 1964 que c’était un mensonge et de plus, ils ont choisi de nous montrer un petit diagramme d’une balle passant à travers le cou et nous rapporter que la balle était passée à travers le cou et que cela ne posait pas de problème.
Je ne peux pas insister plus que de raison l’importance de ce point parce que si la théorie de la balle magique s’effondre, comme c’est le cas en se basant sur la déclaration du proper conseiller en chef de la Commission Warren, alors la théorie de l’assassin unique s’effondre également et nous entrons dans le domaine de la conspiration comme l’a fait le HSCA (House Select Committee on Assassinations) dans les années 1970.
C’est ce type d’information qui a circulé pendant les 31 dernières années et qui a conduit les chercheurs et la vaste majorité du public américain à ne pas croire à la théorie de l’assassin unique du gouvernement. Aussi nous devons maintenant traiter sérieusement le sujet de la conspiration et pour cette raison il est spécialement important pour vous les gens de l’ARRB (Assassination Records Review Board) d’étudier de près la question de la conspiration et les archives du gouvernement qui devraient contenir la preuve d’une telle conspiration.
Je pense, Mesdames Messieurs que vous allez trouver que vous avez affaire à deux conspirations. L’une fut la conspiration pour tuer le Président et ce fut bien sûr un plein succès. Qui l’a mise sur pied, qui a commis le crime, combine de tireurs, quelle trajectoire, combien de coups de feu, nous ne savons pas. C’est ce qui est en train d’être débattu. Je ne suis pas sûr que vous allez trouver les réponses à ces questions dans ces archives que vous êtes en train de recherche.
Mais la deuxième conspiration fut la conspiration destinée à dissimuler la vérité de la première conspiration, et celle-ci ne fut pas autant aussi pleine de succès. Aujourd’hui, il y a beaucoup de preuve qui montrent que des officiels haut placés à l’intérieur du Gouvernement US ont commis des actes destinés à ne pas trouver les réponses vraies mais plutôt à cacher la vérité au Peuple Américain.
Considérez-vous par exemple comme de détectives. Vous arrivez sur les lieux du crime et il y a là le corps de la victime. La police en uniforme vous présente 4 suspects. A ce propos, ils vous dissent, nous avons surpris le suspect n°4 en train de détruire une preuve, de soustraire une preuve, d’altérer une preuve, de fabriquer une preuve et d’intimider des témoins. Maintenant qui croirez vous qui a commis le crime ? Le suspect n° 4. Dans ce cas le suspect n°4 représente des personnes à l’intérieur du Gouvernement Fédéral des Etats-Unis. Les crimes commis et mentionnés ci-dessus ont été documentés. Ainsi le gouvernement vers qui l’on se tourne pour avoir de l’information sur ce cas comprend quelques uns des suspects notoires dans ce cas.
Avec ceci à l’esprit, je vous demanderais de regarder très précautionneusement ces documents du gouvernement pour éviter toute mauvaise piste, obstruction ou dévoiement.
Maintenant j’aimerais me tourner brièvement vers le personnage central de l’assassinat, Lee Harvey Oswald. Le gouvernement et ses apologistes continuent de clamer que toute enquête dans l’assassinat de Kennedy est une perte de temps parce que Lee Oswald ayant agi seul fut la seule personne responsable de l’assassinat. Si ceci est vrai, et j’espère l’avoir désapprouvé en vous montrant qu’il était impossible que la théorie de la balle unique tienne et que par conséquent il est impossible qu’il y ait qu’un assassin, pourquoi y aurait-il alors dans ce cas quelque chose de classifié. S’il s’agissait d‘un cinglé au mauvais endroit et à la mauvaise heure, la Guerre Froide est finie et les agents des années sont probablement déjà à la retraite. Il n’y a plus aucun besoin de secret dans cette affaire, ou y a t-il encore un besoin ?
Laissez-moi partager avec vous cette brève chose. Tout d’abord, je veux mettre en évidence deux documents. Le premier est un mémorandum de J. Edgar Hoover à l’attention du bureau chargé de la sécurité au Département d’Etat, il est date du 3 juin 1960. Dans ce mémorandum, qui a été aussi envoyé au Bureau du renseignement de la Navy, Hoover écrit : Puisqu’il y a une possibilité qu’un imposteur utilise le certificat de naissance d’Oswald, toute information courante que le Département d’Etat pourrait avoir concernant le sujet sera la bienvenue.
Quelle bombe. On nous avait dit que personne au Gouvernement ne prêtait attention à Oswald et voici maintenant un document montrant que rien moins que J. Edgar Hoover en personne connaissait Lee Harvey Oswald 3 ans avant l’assassinat et qu’il avait une raison de suspecter que quelqu’un se faisait passer pour Oswald, indiquant un lien de renseignement possible.
Prêtons attention maintenant aux paroles de la mère d’Oswald, Marguerite, dans une interview réimprimée dans la pièce à conviction 1808 des volumes de la Commission Warren : Lee avait 16 ans et voulait s’engager dans les Marines. Les circonstances dans lesquelles il choisit cette branche du Service, sont à mon avis en contradiction flagrante avec les rapports selon lesquels Lee fréquentait des Communistes à cette époque et qu’il était lui même un Rouge et un admirateur de Karl Marx. Pour ma part, en prenant en considération ce que je sais de la vie de mon fils, je pense qu’il a été au contraire recruté par la CIA et qu’il a été envoyé en Russie par cette organisation et ensuite à Dallas pour infiltrer des organisations subversives et qui sait pour mettre sur pied une conspiration contre.
Maintenant, il y a une preuve pour supporter cette idée. Il est bien établi qu’Oswald a laissé une note dans le style d’un avertissement au FBI deux semaines avant l’assassinat et en dépit des déclarations que la note avertissait les agents du FBI de laisser la femme d’Oswald tranquille ou il entreprendrait une action, il a été établi qu’un officiel du FBI de Dallas a ordonné que la note soit détruite après l’assassinat. Ceci était un acte flagrant de destruction de preuve et laisse l’impression que la note devait contenir autre chose qu’une menace contre le FBI, car si c’était le cas je pense je pense que nous serions tous au courant et qu’elle aurait été imprimée sur la page de garde du magazine Life.
Madame Oswald ajoute maintenant : Ceci est une théorie, mais il me semble qu’elle est conforme à la conduite de mon fils un certain jour de 1954 quand il est venu à la maison accompagné d’un officier en uniforme. Cet officier m’a dit que le pays avait besoin de garçons comme, alerte, bien élevé et loyal et que je devrais le laisser s’engager chez les Marines en dépit de son jeune age. J’ai hésité un peu et j’ai donné ensuite mon consentement.
Ceci sonne comme le départ d’une carrière dans le renseignement et d’autres bouts de d’indices seulement donne du crédit à cette idée. J’ai une liste de ceux-ci et je vous laisserai ceci, le dossier n° 201, un dossier Personnel, qui fut découvert à la CIA :

 Les documents de l’Union Soviétique récemment rendus publics qui montrent clairement que les Soviétiques considéraient Oswald comme un espion.

 La facilité avec laquelle Oswald a obtenu des passeports à la fois avant et après son voyage en Russie,

 Le fait qu’il ait utilise le mot "microdots" dans une conversation avec des collègues de travail, ce qui est une méthode, une méthode d’espion naturellement,

 Sa possession d’un appareil de photo minuscule de type Minox qui portait un numéro de série qui montrait qu’il n’était pas commercialement disponible.
Ainsi nous voyons en commençant par l’avertissement d’Hoover de 1960 qu’il a pu y avoir une possibilité réelle qu’il y ait eu plus d’un Lee Harvey Oswald. A l’intérieur des volumes de la Commission Warren il y a des rapports scolaires montrant qu’au cours le trimestre de l’automne 1953, Oswald a fréquenté pendant 89 jours la Junior High School de Beauregard à la Nouvelle Orléans ne manquant qu’un jour, et il ya également d’autres rapports montrant que durant cette même périodes Oswald a fréquenté l’Ecole publique n°44 de New York pendant 66 jours. Une personne ne peut pas être en même temps à deux places distinctes.
Officiellement, les Oswalds ont déménagé de New York vers la Nouvelle Orléans au début de l’année 1954, et alors qu’il y a des gens, Monsieur William Timmer inclus, qui nous a dit que jeune homme, il avait rencontré Oswald quand il vivait à Stanley, dans le Dakota du Nord. Maintenant, Timmer et d’autres ont pu se tromper, mais en 2 occasions, lors d’une interview à Moscou avec le reporter Aline Mosby et lors d’une conversation avec le Lieutenant Francis Martello de la Police de la Nouvelle Orléans pendant l ‘été de 1963, Oswald lui-même fit référence à son déplacement au Dakota du Nord, et alors qu’il n’y a pas d’enregistrement dans le rapport officiel. Il n’y a pas de note de lui comme étant au Dakota du Nord.
Enfin, j’en terminerai avec l’histoire d’Oswald fréquentant la W.C. Stripling Junior High School de Fort Worth, sa mere et son frère Robert ont tous les deux declaré à la Commission Warren que Lee était entré à la junior high school de Fort Worth, et Robert a spécifiquement nommé la Stripling Junior High School, et tandis que les procés verbaux présentés par la Commission montre clairement que Lee est entré à la junior high school de New York d’où sa mère et lui avait déménagé en Août 1952. Il n’y avait pas fait mention de la Stripling Junior Highshool. Toutefois, juste très récemment, nous avons localisé et parlé avec un Monsieur Frank Kudlaty qui vit maintenant à Waco juste au Sud d’ici. En 1963, Monsieur Kudlaty était l’assistant principal de la W.C. Stripling High School. Il a dit que le lendemain de l’assassinat, un Samedi, son Principal lui a ordonné de se render à l’école et de fournir aux agents du FBI les archives concernant Lee Harvey Oswald. Il a déclaré qu’il avait remis un dossier d’archives au FBI. Il n’est pas fait mention de ces archives dans le rapport de la Commission Warren ou dans les volumes.
Monsieur Kudlaty nous a dit que c’était la première fois depuis 1963 que quelqu’un lui avait parlé de ces archives et Mesdames Messieurs ceci est un de mes points principaux. Il doit y avoir à nouveau une enquête complète et vraie sur cette affaire.
Aussi j’espère que vous voyez combien il est extrêmement vital de rendre publiques toutes les archives concernant même des choses comme ses dossiers scolaires. Il y a des milliers d’archives – votre travail n’est pas d’enquêter, cependant il ya des milliers d’enquêteurs dans ce pays, des privés qui passent leur temps et dépense leur argent pour résoudre cette affaire. Ils méritent une complète transparence de la part de leur gouvernement, spécialement à la lumière du fait que le gouvernement et ses apologistes maintiennent encore qu’il n’y a rien qui manque à propos de l’histoire de l’assassinat.
J’espère, avec mes petits moyens personnels, vous avoir montré le besoin de produire les documents nécessaires pour amener l’affaire de l’assassinat à une conclusion vraie, nous avons besoin en particulier des archives scolaires des débuts d’Oswald à Fort Worth, à New York et à la Nouvelle Orléans. Nous avons besoin de tous les rapports médicaux, de tous les rapports militaires, de toutes les archives de la sécurité sociale et des impôts. Je sais qu’il y a eu une controverse à propos d’où ses feuilles d’impôts avaient été rendues publiques. Bien sûr nous pouvons voir ses feuilles d’impôt. La Guerre froide est terminée, il n’y a plus d’excuse valable de sécurité nationale pour retenir du matériel relatif à l’assassinat. La seule sécurité possible impliquée serait pour ceux qui ne veulent que la vérité de l’assassinat soit rendue publique. Il est temps de considérer que le temps où de l’embarras du FBI ou de la CIA ou du Pentagone est révolu depuis longtemps. Il est temps maintenant pour le gouvernement de rouvrir ses dossiers sur l’un des évènements les plus traumatisants de l’histoire de notre nation. Et vous, vous êtes ceux je pense qui pouvez influencer ce tournant pour une pleine et honnête transparence et vous remercie de votre attention et du temps que vous m’avez consacré.

Le Président Tunheim
Merci, Monsieur Marrs.

Les membres du bureau ont-ils d’autres questions ?

[Pas de réponse.]
Le Président Tunheim
Merci beaucoup, nous avons apprécié que vous soyez venu ici aujourd’hui.

Monsieur Marrs
Merci.


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