JFK L’assassinat les questions
Dallas 22 novembre 1963

Site dédié à l’assassinat du Président Kennedy et à l’étude des questions sans réponse pleinement satisfaisante près de 60 ans après les faits.

Les indices du Knoll

Etude de l’activité dans le périmètre du Grassy Knoll par Jerry Organ (traduction)


par Pierre NAU

Avertissement : Cet article est reproduit ici avec la permission de l’auteur. Si la traduction m’appartient, le texte reste sa propriété exclusive et ne peut être reproduit sans son autorisation.


Peu de chose ont changé sur Dealey Plaza — si on pouvait ignorer les tours monolithes postérieures au Dallas de 1963 — qu’il est facile d’imaginer que le cortège présidentiel est sur le point d’arriver. Le film de Zapruder est maintenant devenu bien connu du public, et il passe pour le film de meilleure qualité pris d’une position avantageuse proche de l’idéal. Mais nous sommes également au courant des séquences des suites, grâce dans une bonne mesure à la diffusion de film d’actualités de qualité rapportés par plusieurs cameramen présents dans le cortège. Ce sont les séquences qui ont été diffusées sur les réseaux de presse et qui ont dévoilé cette après-midi terrible.

1 - La ruée vers le Knoll ! (monticule herbeux)

Dans les moments immédiats de l’assassinat, de nombreux témoins et policiers se sont retrouvés dans le parc de stationnement placé au sommet de l’infâme Grassy Knoll. Leur présence est souvent citée comme la preuve d’un assassin faisant feu de derrière la barrière.
La " ruée " vers le Knoll s’est réellement produite plus d’une minute après les coups de feu, et a été déclenchée par un motocycliste de la police de Dallas présent dans le défilé, Clyde Haygood, qui n’avait aucune connaissance préalable de la direction du coup de feu. L’officier Haygood était à une distance d’un bloc quand il a entendu le premier des trois coups de feu. Après avoir dévalé Elm street, il s’était arrêté juste après avoir dépassé la famille Newman qui s’était allongée par terre, avait garé sa motocyclette, et avait couru pour rejoindre des policiers qu’il avait vu sur le pont de chemin de fer. Ce fut seulement alors que des gens commencèrent à courir après lui, en pensant faussement qu’il était aux trousses d’un coupable.

La " ruée " vers le haut du monticule à travers le passage de la Pergola s’est produite encore plus tard. Des témoins éminents tels que les Newmans n’ont pas commencéà bouger pendant plus d’une minute ; Jean Hill n’a pas traversé la rue avant plus de deux minutes.
La réaction initiale de la plupart des personnes peu après le tir fut de se laisser tomber simplement par terre ou de chercher à se protéger. Plus tard, les rapports des médias et les déclarations sous serment des témoins décrirent qu’ils avaient eu l’impression — peut-être influencés par la vue de Haygwood et l’acoustique piège de la Place — que des coups de feu semblaient provenir d’un secteur à l’avant de la voiture.
Au commencement, le Grassy Knoll ne fut pas suspecté par les chercheurs comme origine des coups de feu. Thomas Buchanan, dans son livre de 1964 "Qui a tué Kennedy ?" basait un coup de feu tiré du "viaduc du chemin de fer" sur un " impact de balle " qui avait apparemment traversé le pare-brise de la limousine. Seulement, quand la Commission Warren a démontré que le pare-brise ne pouvait seulement qu’avoir été frappé de l’intérieur (probablement par un fragment de plomb de la balle fatale) et rendit public le témoignage de Sam Holland, l’attention à propos du knoll changea.

Le monticule herbeux est devenu depuis un favori des chercheurs qui, à partir de photographies prises de ce secteur, en ont déduit "des assassins " et des " bouffées de fumée ". En 1967 est venue l’annonce sensationnelle qu’une forme " de tireur classique " était visible sur une image du film 8 mm de mauvaise qualité pris par Orville Nix. En moins de quelques mois, Josiah Thompson l’avait laissé de côté, notant le même effet de modèle d’ombre sur une image prise longtemps après l’assassinat. En 1965, le critique David Lifton avait étudié des copies du cliché Polaroïd de Moorman qui comprenait une grande partie du Grassy Knoll, à l’approche du coup de feu fatal. Lifton pensait qu’un des buissons du monticule constituait un abat-jour artificiel pour un tireur embusqué.
En 1976, encore une autre forme apparaissait à partir d’ombres présentes sur un agrandissement du cliché de Moorman, dans le livre de Robert Groden : JFK L’affaire de la conspiration. De la même image, les chercheurs Texans Gary Mack et Jack White présentèrent une forme qu’ils appelèrent le " Badgeman " dans le documentaire TV de 1988 "Les hommes qui ont tué Kennedy". Cette même année, à la demande de la NOVA, les techniciens du MIT ont analysé la forme, en concluant " qu’il fallait faire preuve d’une certaine imagination " pour l’assimiler à une silhouette humaine.
Une forme sur le knoll fut confirmée comme étant humaine ; la silhouette du "Black Dog Man " du mur de soutènement de la Pergola vue sur les photographies de Willis et de Betzner alors que la limousine descend Elm street. Des critiques ont fait grand cas de cette forme, certains même suggérant qu’elle tenait un " fusil". Mais une interview oubliée depuis longtemps de Marilyn Sitzman par Josiah Thompson détermina que la forme était tout à fait bénigne.
 

2 - Qui était le Black Dog Man ?

Le livre de Robert Groden , "Meurtre d’un Président" de 1993 offre des agrandissements du cliché polaroïd de Moorman, et des films de Muchmore et de Nix qui prétendent montrer le Black Dog Man au coin du mur de soutènement. Dans un épisode de Geraldo en 1991, Groden présenta une séquence du film de Nix montrant " un objet bronze coloré incliné vers le bas et vers la gauche ", comme la preuve de l’activité suspecte du Black Dog Man.
Ce programme s’ouvrait sur un ancien direct de Dealey Plaza qui comprenait une des dernières interviews de la défunte Marilyn Sitzman, la secrétaire qui retenait Abraham Zapruder pendant qu’il filmait arc-bouté sur un mur de soutènement de la Pergola. Se dirigeant vers le coin du mur de soutènement, Sitzman se rappellait : " Voilà ce qui arriva, il y avait un couple assis ici sur un banc du parc et il a laissé tomber une bouteille d’eau gazeuse, juste après que la voiture s’en soit allée sous le Triple Underpass. Et quand cette bouteille d’eau gazeuse a frappé le ciment, cela nous a en quelque sorte réveillés. Et M. Zapruder et moi-même nous tenions toujours ici. Tous les autres s’étaient couchés à plat. Et ensuite tout ce dont je puis me rappeler, et qui passa par mon esprit : "Qu’est ce que je fais debout ici ? "

Les mouvements sur le film de Nix que Groden montra plus tard au cours du même programme, ressemblent à l’événement rappelé par Sitzman. Le couple était parti quand Zapruder fit un panoramique au-dessus du mur de soutènement quelques secondes plus tard , s’étant sauvé " vers l’arrière". Deux ans après, Groden n’avait toujours pas relié le couple à la forme grenue du mur de soutènement qu’il mettait en avant de la manière la plus suspecte dans "Le meurtre d’un Président". Ni, apparemment, mentionné le soin de Josiah Thompson pour associer le couple que Sitzman lui avait d’abord décrit en 1966 au "quatrième" coup de feu errant rappelé par le témoin figurant dans son livre de 1967 "Six secondes à Dallas". Sam Holland, contrôleur de signaux de chemin de fer pour l’Union Terminal Railroad, qui avait été témoin de l’assassinat en haut du Triple Underpass. Sitzman parla à Thompson d’un jeune couple noir qui déjeunait et buvait des cokes sur un banc derrière le mur de soutènement. Quand le cortège présidentiel est arrivé, les photographies de Willis et de Betzner montrèrent qu’il s’était replacé près du coin du mur, se penchant apparemment avec leurs coudes sur le mur.

Sitzman se souvenait d’avoir entendu " un écrasement de verre et j’ai regardé là-bas et les gosses ont jeté par terre leurs bouteilles de coke, ils les ont juste jetées par terre. " Sa description de la bouteille en train d’exploser étant "c’était beaucoup plus fort que les coups de feu " et la possibilité que la lumière du soleil se soit reflétée sur les tessons de bouteilles en vol expliquerait la déclaration de Holland relative à un tir et à une bouffée de fumée sur le Knoll.
Thompson ne la reconnaît pas, mais une raison probable pour qu’Holland ait regardé vers le secteur du knoll en premier lieu résidait dans le fait que — de la position où se trouvait Holland sur le pont du chemin de fer — la fenêtre d’Oswald apparaissait
indistinctement au-dessus de celui-ci (le Knoll). Holland pensa plus tard qu’il pouvait distinguer trois coups de feu venant " de l’extrémité nord de Houston street", également à proximité de la fenêtre d’Oswald.
Le coup de feu supposé de Holland venant de " dessous les arbres " est une déviation de la bouteille de coke en train d’éclater.

La révélation de Sitzman à Thompson a été redécouverte par l’archiviste du Massachusett Richard Trask en 1985, qui " en 1991 avait localisé la photo du banc et remonta le scénario du couple de noirs.
Le livre évènement de Trask en 1994, "Des images de douleur", édite une image prise l’après-midi de l’assassinat par le photographe du Dallas Morning News Johnny Flynn montrant : " deux hommes habillés simplement, l’un avec un bloc-notes sténographique à la main, en train de se pencher et examinant un sac de déjeuner en papier , et un emballage portant l’inscription ’Tom Thumb & buns 25 cents". Les restes de déjeuner reposent sur une lamelle de banc en métal d’apparence étrange disposés perpendiculairement au mur en béton et près du passage conduisant aux escaliers du Knoll. Le couple de noirs n’a jamais été identifiés — ils peuvent très bien être " l’insaisissable arme à feu fumante" requise pour résoudre le prétendu " grand mystère " de l’assassinat de Kennedy.
 

3 - Fumée et miroirs

Les collègues de Holland sur le pont de chemin de fer ont également décrit de la " fumée " mais portent un regard plus étroit. Austin Miller a localisé l’incident " venant d’un groupe d’arbres situés au Nord d’Elm street outre les voies de chemin de fer. " C’est le groupe d’arbre, du mur de soutènement, décrit par Holland. Miller témoigna : " je me suis retourné et ai regardé vers le — il y a une petite place qui se trouve sur la colline. J’ai regardé par dessus pour voir s’il y avait quelqu’un qui avait jeté un pétard ou quoique ce soit d’autre. " La petite place" est la structure en béton de la pergola, qui comprend le mur de soutènement. Rien au sujet d’un tir au niveau de la barrière.
James Simmons la localisa " près du remblai devant le TSBD. " Le mur est plus étroit et plus " en face du TSBD " que la barrière. En 1966, Simmons déclara à Mark Lane qu’elle " était venue de la gauche et face à nous, vers la barrière en bois, et qu’il y avait un bouffée de fumée qui venait de dessous les arbres se trouvant sur le remblai. " Simmons se tenait à côté de Holland — le seul faisceau d’arbres visibles de leur position avantageuse était celui décrit plus tard par Holland.
Marilyn Sitzman était beaucoup plus près du coin de la palissade en bois qu’Holland, pourtant, le seul événement peu commun qu’elle avait noté résidait dans la bouteille qu’avait fait éclater le couple de noirs — rien au sujet d’un coup de fusil. Le même jour elle déclara à un détective de la police que les coups de feu provenaient du dépôt.
De même, Emmett Hudson, le jardinier de Dealey Plaza, se tenait à mi-chemin vers le haut des marches menant au knoll, et n’entendit rien de semblable à un tir venant de la barrière, se trouvant à quelques pieds derrière lui. Hudson clarifiera pour le HSCA qu’il a voulu dire le dépôt quand il avait décrit les coups de feu comme venant de " derrière " lui ; les critiques avaient abusé de lui en qualité de témoin du deuxième tireur pendant des années.
La " brume légère de coups de feu" qu’introduit Groden à la page 204 de "Meurtre d’un président" est, naturellement, un éclat de feuille morte comme mieux indiqué dans un agrandissement à la page 46. Il y a peu de doute pour que ce que David Lifton prétend être la " fumée " sur une image du film de Nix soit simplement l’ombre d’un arbre sur la partie ensoleillée du mur de soutènement, plus clairement visible sur les clichés de Moorman et de Bond. Le film de Nix, cependant, a nettement saisi le mouvement d’oscillation de la bouteille en train de se casser.

Plusieurs des témoins qui ont indirectement vu ou entendu la bouteille se casser et les formes foncées du couple fuyant immédiatement la scène tout naturellement ont associé les événements du mur à l’explosion de la tête du Président tellement proche. L’insistance de témoins qui déclaraient avoir vu une " bouffée de fumée, " le jugement instantané des médecins de Parkland relatif à des coups de feu frontaux, le couple de noirs qui ne s’était pas présenté — et plus tard, le mouvement de la tête vers l’arrière tel qu’on peut le voir sur le film de Zapruder — laissèrent le Grassy Knoll ouvert à toutes sortes de spéculations.
La côté triste de la chose est que Sam Holland donnait une impression d’honnêteté de ce qu’il avait vu que des critiques plus tard l’ont façonné pour l’adapter à leurs ordres du jour.
Josiah Thompson a eu l’occasion en 1966 de demander à Holland si la " bouffée de fumée " pouvait avoir été causée par l’éclatement de la bouteille rappelé par Sitzman, mais cela aurait remis en cause son hypothèse d’un double-impact simultané sur la tête du Président. Ironiquement, Sam Holland s’était plaint à Thompson à propos du subterfuge d’un nom d’emprunt employé par Mark Lane pour gagner une entrevue. Après avoir été shérif adjoint pendant 17 années, Holland avait enquêté sur Thompson avec son vieil ami, le shérif Bill Decker du comté de Dallas. La crédibilité de Thompson était sans aucun doute augmentée par le fait qu’il était le consultant spécial du magazine Life à propos de l’assassinat.
Au travers des propos de Thompson, Holland se plaignait que des critiques : “lui avait menti au sujet de l’utilisation qu’ils feraient de ses déclarations et l’avaient sans cesse harcelé, essayant de prouver un point et puis un autre”. Ainsi la première partie de la soirée a été passée à panser les blessures dont Holland avait soufferte au cours des entrevues antérieures. " En dépit des assurances que Thompson " souhaitait ne parler d’aucun cas particulier, " Thompson admet un point : "L’ histoire de Holland fut adaptée au dernier morceau d’ un puzzle… dont j’en avais perçu la forme pour la première fois cinq mois plus tôt. "

 

4 - Newman et le parapluie 

Les déclarations sous serment du couple de Newman faites le 22 Novembre 1963 ont été éditées dans le volume XIX des auditions ; pour être dénaturées par la suite par des critiques tels que Meagher, Thompson et Marrs. Ce ne fut qu’en 1984, dans une production TV "Le procès de Lee Harvey Oswald" que Vincent Bugliosi a simplement demandé à William Newman d’en dire un peu plus à propos du " jardin juste derrière moi " qui apparaissait dans sa déclaration sous serment du 22 novembre 1963. Newman indiqua le secteur se trouvant à l’est de la Pergola ; c’est à dire l’espace aménagé en parc entre le Dépôt et la position de Newman le 22 novembre.

Dans sa déclaration sous serment, Newman pensait que les coups de feu étaient venus de la direction du dépôt, mais était incertain quant à l’altitude à laquelle se trouvait le tireur et il avait ainsi regardé à un endroit plus haut que le "jardin. " La photo de Moorman montre que la barrière sur le Knoll herbeux est située plus vers la droite de Newman que vers l’arrière, tandis que le " jardin " — et le dépôt — sont plus en arrière. Pour les millions de spectateurs du film de Zapruder, il s’avère au commencement que, d’après les dires de Newman, un coup de feu " avait frappé le Président du côté de la tempe. " La conclusion de l’autopsie et la découverte du mouvement vers l’avant aux vues 312-313 du film de Zapruder montrent que l’explosion de la partie supérieure droite du crâne était réellement une blessure de sortie. Dans le film JFK, un homme avec un parapluie au cœur de Dealey Plaza joue le rôle de signal visuel pour les équipes chargés de l’assassinat. Non, Stone n’a pas inventé ceci ; il y avait un homme agitant un parapluie ouvert de haut en bas lorsque la limousine l’a dépassé. Mais ce que Stone a laissé de côté c’est que l’homme a été identifié.

Dans son témoignage devant le Comité (HSCA), Louie Steven Witt rappela son action symbolique de protestation sur Dealey Plaza à l’aide d’un parapluie. A beaucoup de chercheurs, Witt offrit le type d’explication innocente que Thompson avait qualifié de " très probable " en 1967. Il y avait un autre protestataire, avec un panneau manuscrit de l’autre côté d’Elm street par rapport à Witt. Witt et cet homme, comme beaucoup d’autres, se sont attardés sur Dealey Plaza longtemps après l’assassinat. Witt a indiqué au Comité qu’il avait voulu railler Kennedy, puisque le parapluie était censé symboliser la sympathie de Joseph Kennedy pour les tentatives de paix de Neville Chamberlain en vue de calmer l’Allemagne avant le début de la deuxième guerre mondiale. Le fameux " paix pour notre époque" de Chamberlain avait été lu — devant les caméras et appareils de photo — sous un parapluie et dans un aéroport par jour de pluie. Au cours de la campagne de séduction auprès des délégués le jour où JFK avait obtenu sa nomination en 1960, Lyndon Johnson avait réprimandé le père de son adversaire, en disant " je n’ai jamais été un homme parapluie de Chamberlain. "

Des critiques ont indiqué que Witt avait dit qu’il n’avait pas vu " le coup de feu porté au Président ou ses mouvements “parce que Witt était occupé à marcher vers le trottoir et à lever le parapluie”.

Des photographies montrent que l’homme au parapluie était déjà posté sur le trottoir avec un parapluie en position haute, et avait ainsi une vue claire de l’arrivée du défilé présidentiel. Mais il faut considérer la dynamique du moment, telle que la possibilité que les premiers et deuxièmes coups de feu aient détourné l’attention de Witt vers le dépôt alors que le Président approchait. Il faut se rappeler que Witt était sur Dealey Plaza pour protester contre le Président — au dernier moment, Witt pouvait avoir vu les agents des Services Secrets et Mme Kennedy, et réaliser l’absurdité de sa protestation idiote, et n’aurait pas pu faire face au Président. Des années après, il ne pouvait pas se rappeler de la séquence exacte. L’aveu de Louie Witt aurait du achever la spéculation à propos de l’homme au parapluie. Comme d’autres candidats à la conspiration, de tels mythes ont la vie dure parmi la communauté des critiques. Ce peut être les principes incertains et l’analyse perverse d’auteurs conspirationnistes partisans du " fusil fumant " dans ce cas-là. Ils continuent à mener des millions de personnes à une chasse à l’oie sauvage sur le sommet du Grassy Knoll.

Pour plus d’information, visitez le site de :
Jerry Organ


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