JFK L’assassinat les questions
Dallas 22 novembre 1963

Site dédié à l’assassinat du Président Kennedy et à l’étude des questions sans réponse pleinement satisfaisante près de 60 ans après les faits.

Une solution étonnante

Thèse développée par Mike Regan


par Pierre NAU

Avertissement : Le contenu de cet article n’engage que la responsabilité de son auteur (Mike Regan). Si la traduction m’appartient, le texte reste sa propriété exclusive et ne peut être reproduit sans son autorisation.

Ce document m’a été fourni par Michael Regan qui m’a autorisé à le publier après en avoir fait la traduction. Ce point de vue mérite d’être connu. En dépit de la surprise légitime qu’il peut susciter à sa lecture, c’est une pièce supplémentaire à verser au dossier. La lunette du Mannlicher Carcano retrouvé au sixième étage était disposée sur le fusil comme si le tireur était gaucher. Or Oswald était droitier. Alors qui épaulait l’arme ? Michael Regan apporte une réponse. A vous de juger.

Dans le cortège, Dillard se trouvait dans la voiture numéro trois quand il prit cet instantané à l’aide de son appareil-photo seulement trois secondes après la fusillade soit environ dix secondes après le premier coup de feu. Sur cette une image on peut voir quelles fenêtres étaient ouvertes et celles qui étaient fermées à ce moment-là. Le négatif, ainsi que le perfectionnement des portions de l’image menant au côté Ouest du bâtiment a tout simplement disparu.

La photo a été alors agrandie et particulièrement scrutée par la Commission Warren. Tout ce qu’il en est resté figure dans la photo de dessus.

 

SOLUTION A L’ASSASSINAT DU PRESIDENT JOHN FITZGERALD KENNEDY

Les pages du document ci-dessous examinent des faits spécifiques dont on a caché l’existence au cours des ces trente huit dernières années et qui éliminent, tout à fait clairement, une quelconque possibilité pour que Lee Harvey Oswald ait assassiné le Président John Fitzgerald Kennedy.

Ce document montre également la forte probabilité que des évènements se soient produits réellement cette après-midi là sur
Dealey Plaza. Principalement basé sur un témoignage de la Commission Warren, et sur des déclarations faites par le véritable assassin, l’examen présente un éventail d’évènements mineurs, commençant le mercredi après-midi du 20 novembre 1963 et s’achevant avec l’évènement dramatique de trois coups de feu tirés par James Jarman, Jr., de la tanière de l’assassin située au sixième étage du dépôt de livre scolaires du Texas à 12:30 le vendredi 22 novembre 1963.

 

1 - LES FAITS CONCERNANT L’ASSASSINAT DE PRÉSIDENT JOHN F. KENNEDY QUI INDIQUENT QUE CE N’EST PAS LEE HARVEY OSWALD QUI A TIRÉ SUR LA QUEUE DE DETENTE CETTE APRÈS-MIDI LA SUR DEALEY PLAZA

Point #1
- Le témoin oculaire, Amos Euins, a spécialement insisté sur le fait que l’assassin avait " une tache blanche "à l’arrière de la tête alors qu’il l’apercevait sous le magasin du fusil. En considérant une position indiquant que l’arrière de la tête de l’homme pouvait avoir été visible à quelqu’un se trouvant en dessous dans la rue, pendant que le troisième coup de feu était visé et tiré, suggère fortement que l’assassin ait été gaucher. Témoin oculaire, Arnold Rowland, témoigna devant la Commission de Warren que juste avant l’assassinat il avait vu un homme se tenir à la fenêtre située à l’extrême gauche (coin de sud-ouest) du sixième étage du dépôt de livres scolaires du Texas. L’homme, selon Rowland, tenait ce qu’il a pensé être un fusil de forte puissance dans une position de port de bras de type militaire. Le magasin de l’arme pointait au-dessus de l’épaule droite de l’homme, alors qu’il faisait face à Rowland, vers le mur le plus proche (ouest). Une indication supplémentaire que le tireur était gaucher.

- Le témoin oculaire, Amos Euins, a spécialement insisté sur le fait que l’assassin avait " une tache blanche "à l’arrière de la tête alors qu’il l’apercevait sous le magasin du fusil. En considérant une position indiquant que l’arrière de la tête de l’homme pouvait avoir été visible à quelqu’un se trouvant en dessous dans la rue, pendant que le troisième coup de feu était visé et tiré, suggère fortement que l’assassin ait été gaucher. Témoin oculaire, Arnold Rowland, témoigna devant la Commission de Warren que juste avant l’assassinat il avait vu un homme se tenir à la fenêtre située à l’extrême gauche (coin de sud-ouest) du sixième étage du dépôt de livres scolaires du Texas. L’homme, selon Rowland, tenait ce qu’il a pensé être un fusil de forte puissance dans une position de port de bras de type militaire. Le magasin de l’arme pointait au-dessus de l’épaule droite de l’homme, alors qu’il faisait face à Rowland, vers le mur le plus proche (ouest). Une indication supplémentaire que le tireur était gaucher.
 

Point #2

- L’ Officier de police de Dallas, M.N.MDONALD, témoigna que Lee Harvey Oswald lui avait donné un coup de poing à l’aide de sa main gauche au cours de la lutte à l’intérieur de la salle de cinéma et avait saisi un pistolet à sa ceinture de la main droite. En outre, la photographie éditée d’Oswald prise par son épouse, Marina, dans l’arrière cour de leur maison montre un pistolet, dans un étui, attaché à la hanche droite d’Oswald. D’autres photos prouvent qu’Oswald faisait une raie à ses cheveux du côté gauche et portait un bracelet-montre au poignet gauche. Lee Harvey Oswald était droitier.

- L’ Officier de police de Dallas, M.N.MDONALD, témoigna que Lee Harvey Oswald lui avait donné un coup de poing à l’aide de sa main gauche au cours de la lutte à l’intérieur de la salle de cinéma et avait saisi un pistolet à sa ceinture de la main droite. En outre, la photographie éditée d’Oswald prise par son épouse, Marina, dans l’arrière cour de leur maison montre un pistolet, dans un étui, attaché à la hanche droite d’Oswald. D’autres photos prouvent qu’Oswald faisait une raie à ses cheveux du côté gauche et portait un bracelet-montre au poignet gauche. Lee Harvey Oswald était droitier.
 

Point #3

- Bien que ce soit un fait prouvé que cinq des employés du dépôt avaient positionné des boîtes de livres formant un bouclier devant la fenêtre du coin du sud-est du sixième étage du bâtiment, pas une de leurs empreintes digitales ne fut trouvée sur ces boîtes de livres une fois analysées par le FBI. Une forte présomption existe pour qu’un soin spécial ait été pris par au moins certains de ces employés pour éliminer la détection d’indices relatifs au fait qu’ils avaient manipulé les boîtes.

- Bien que ce soit un fait prouvé que cinq des employés du dépôt avaient positionné des boîtes de livres formant un bouclier devant la fenêtre du coin du sud-est du sixième étage du bâtiment, pas une de leurs empreintes digitales ne fut trouvée sur ces boîtes de livres une fois analysées par le FBI. Une forte présomption existe pour qu’un soin spécial ait été pris par au moins certains de ces employés pour éliminer la détection d’indices relatifs au fait qu’ils avaient manipulé les boîtes.
 

Point #4

- Ces cinq employés, y compris un dénommé Bonnie Ray Williams, avaient passé le matin du 22 novembre 1963 à mettre en place un nouveau plancher en contre-plaqué au sixième étage du TSBD. " Les débris blancs " qui sont devenus un tel point de préoccupation, proche de la paranoïa, pour Williams et deux autres employés, James Jarman, Jr. et Harold Normand (non impliqués dans la construction du plancher), pendant leur témoignage devant la Commission au cours duquel ils déclarèrent unanimement qu’ils étaient tombés du cinquième étage sur leurs cheveux et causés par les impacts des étuis de cartouche sur le plancher de l’étage supérieur étaient, en réalité, des morceaux de plâtre blanc qui s’étaient accumulés dans leurs cheveux en provenance du plafond du sixième étage pendant que le nouveau contre-plaqué était mis en place à coups de marteau à cet endroit.
Bien que Jarman et Norman ne faisaient pas partie des membres de l’équipe de construction, Norman déclara qu’il avait fait lui-même des visites régulières au sixième étage afin de " prendre l’air ". Selon le témoignage de Williams, cependant, Norman avait fait plus que simplement " prendre l’air". Normand " nous avait aider à déplacer le stock alentour ".
Basé sur le témoignage de la Commission Warren, il n’est pas possible de placer James Jarman, Jr. au sixième étage au cours de la matinée avant l’assassinat mais les événements qui se produisirent, juste aprés que l’équipe fasse une pose pour le déjeuner, suggérent fortement qu’il ait été présent à l’étage. Au moins pendant une période assez longue pour permettre aux " débris blancs " de s’accumuler dans ses cheveux.

- Ces cinq employés, y compris un dénommé Bonnie Ray Williams, avaient passé le matin du 22 novembre 1963 à mettre en place un nouveau plancher en contre-plaqué au sixième étage du TSBD. " Les débris blancs " qui sont devenus un tel point de préoccupation, proche de la paranoïa, pour Williams et deux autres employés, James Jarman, Jr. et Harold Normand (non impliqués dans la construction du plancher), pendant leur témoignage devant la Commission au cours duquel ils déclarèrent unanimement qu’ils étaient tombés du cinquième étage sur leurs cheveux et causés par les impacts des étuis de cartouche sur le plancher de l’étage supérieur étaient, en réalité, des morceaux de plâtre blanc qui s’étaient accumulés dans leurs cheveux en provenance du plafond du sixième étage pendant que le nouveau contre-plaqué était mis en place à coups de marteau à cet endroit.Bien que Jarman et Norman ne faisaient pas partie des membres de l’équipe de construction, Norman déclara qu’il avait fait lui-même des visites régulières au sixième étage afin de " prendre l’air ". Selon le témoignage de Williams, cependant, Norman avait fait plus que simplement " prendre l’air". Normand " nous avait aider à déplacer le stock alentour ".Basé sur le témoignage de la Commission Warren, il n’est pas possible de placer James Jarman, Jr. au sixième étage au cours de la matinée avant l’assassinat mais les événements qui se produisirent, juste aprés que l’équipe fasse une pose pour le déjeuner, suggérent fortement qu’il ait été présent à l’étage. Au moins pendant une période assez longue pour permettre aux " débris blancs " de s’accumuler dans ses cheveux.
 

Point #5

- Bien qu’il soit fait mention à plusieurs reprises dans divers rapports, y compris la Commission de Warren, que James Jarman Jr se trouvait au cinquième étage avec Norman et Williams au moment de l’assassinat, et même si l’on discute le moment où Dillard a pris sa photographie (il n’apparaît pas sur l’image, bien qu’elle ait été faite par Tom Dillard dans les secondes de la fusillade), la probabilité pour qu’il ait commis l’assassinat est très élevée. Le fait supplémentaire qu’il était employé au dépôt de livres scolaires du Texas comme préposé à l’emballage et qu’il utilisait régulièrement du papier et de la bande adhésive, de nature identique au papier et à la bande adhésive bande utilisés pour empaqueter l’arme de meurtre indique, encore plus fortement, que c’était lui qui avait préparé et a fourni le sac confectionné à Oswald quand Oswald est retourné chez lui dans la soirée du 21 novembre 1963. Probablement sous le prétexte que Jarman achèterait l’arme le jour
suivant. Quand on sait qu’après avoir été placé en détention Oswald avait 13,87 $ sur lui et qu’il avait dépensé peu de temps auparavant $1,00 pour une course en taxi et environ 40c pour un billet d’autobus et un coca-cola, il est fort probable que Jarman avait réellement acheté l’arme du crime à Oswald le matin du 22 novembre et pour un prix convenu de 15,00$. La disposition d’esprit d’Oswald à ce moment là fut probablement d’être heureux de cette occasion de se débarrasser d’une arme, et d’une preuve , qui le liait facilement à sa propre tentative d’attenter à la vie du Général Walker quelques mois plus
tôt.

- Bien qu’il soit fait mention à plusieurs reprises dans divers rapports, y compris la Commission de Warren, que James Jarman Jr se trouvait au cinquième étage avec Norman et Williams au moment de l’assassinat, et même si l’on discute le moment où Dillard a pris sa photographie (il n’apparaît pas sur l’image, bien qu’elle ait été faite par Tom Dillard dans les secondes de la fusillade), la probabilité pour qu’il ait commis l’assassinat est très élevée. Le fait supplémentaire qu’il était employé au dépôt de livres scolaires du Texas comme préposé à l’emballage et qu’il utilisait régulièrement du papier et de la bande adhésive, de nature identique au papier et à la bande adhésive bande utilisés pour empaqueter l’arme de meurtre indique, encore plus fortement, que c’était lui qui avait préparé et a fourni le sac confectionné à Oswald quand Oswald est retourné chez lui dans la soirée du 21 novembre 1963. Probablement sous le prétexte que Jarman achèterait l’arme le joursuivant. Quand on sait qu’après avoir été placé en détention Oswald avait 13,87 $ sur lui et qu’il avait dépensé peu de temps auparavant $1,00 pour une course en taxi et environ 40c pour un billet d’autobus et un coca-cola, il est fort probable que Jarman avait réellement acheté l’arme du crime à Oswald le matin du 22 novembre et pour un prix convenu de 15,00$. La disposition d’esprit d’Oswald à ce moment là fut probablement d’être heureux de cette occasion de se débarrasser d’une arme, et d’une preuve , qui le liait facilement à sa propre tentative d’attenter à la vie du Général Walker quelques mois plustôt.
 

Point #6

- " la tache blanche " vue sur le dos de la tête de l’assassin par le témoin oculaire, AMOS Euins, était, en réalité,
des morceaux du plâtre blanc dans les cheveux de James Jarman Jr. La paranoïa de Jr. Jarman devant la Commission de Warren au moment où il témoignait à propos du plâtre, était simplement dû au fait qu’il avait oublié d’époussetter la poudre de ses cheveux avant de tirer sur la queue de détente.

- " la tache blanche " vue sur le dos de la tête de l’assassin par le témoin oculaire, AMOS Euins, était, en réalité,des morceaux du plâtre blanc dans les cheveux de James Jarman Jr. La paranoïa de Jr. Jarman devant la Commission de Warren au moment où il témoignait à propos du plâtre, était simplement dû au fait qu’il avait oublié d’époussetter la poudre de ses cheveux avant de tirer sur la queue de détente.
 

Point #7

- L’apparition, deux semaines après l’assassinat, d’un sac en papier fait à la main, semblable à celui utilisé pour empaqueter l’arme de meurtre, au bureau des "lettres-mortes" de la poste près de Dallas suggère qu’un des conspirateurs avaient essayé de guider les enquêteurs vers la direction appropriée. Peut-être craignant pour sa propre vie. *NOTE* l’assassinat fut probablement le résultat de circonstances qui eurent lieu à Dallas dans l’après-midi de novembre 22nd,1963 comprenant les suivantes ;

- L’apparition, deux semaines après l’assassinat, d’un sac en papier fait à la main, semblable à celui utilisé pour empaqueter l’arme de meurtre, au bureau des "lettres-mortes" de la poste près de Dallas suggère qu’un des conspirateurs avaient essayé de guider les enquêteurs vers la direction appropriée. Peut-être craignant pour sa propre vie. *NOTE* l’assassinat fut probablement le résultat de circonstances qui eurent lieu à Dallas dans l’après-midi de novembre 22nd,1963 comprenant les suivantes ;

 

Point #8

- L’arrivée, naturellement, du cortège présidentiel devant le dépôt de livres dans Elm street (Jarman avait lu les journaux et avait témoigné de sa connaissance préalable de ce fait). La présence d’un fusil de forte puissance dans les mains de trois employés au minimum du TSBD le matin de l’assassinat.

- L’arrivée, naturellement, du cortège présidentiel devant le dépôt de livres dans Elm street (Jarman avait lu les journaux et avait témoigné de sa connaissance préalable de ce fait). La présence d’un fusil de forte puissance dans les mains de trois employés au minimum du TSBD le matin de l’assassinat.

Point #9

- La présence d’un homme parfaitement capable d’actionner la queue de détente d’un Mannlicher-Carcano, de tirer à trois reprises et de mettre fin à la vie du Président John Fitzgerald Kennedy (l’expérience militaire de Jarman d’une durée de 8 ans indique à elle seule la connaissance des armes. L’utilisation au cours de son témoignage du mot " action " en décrivant les bruits métaliques qu’il avait entendus de l’arme, suggère en outre ses aptitudes. C’est un mot généralement utilisé parmi les fervents d’armes à feu).

 - La présence d’un homme parfaitement capable d’actionner la queue de détente d’un Mannlicher-Carcano, de tirer à trois reprises et de mettre fin à la vie du Président John Fitzgerald Kennedy (l’expérience militaire de Jarman d’une durée de 8 ans indique à elle seule la connaissance des armes. L’utilisation au cours de son témoignage du mot " action " en décrivant les bruits métaliques qu’il avait entendus de l’arme, suggère en outre ses aptitudes. C’est un mot généralement utilisé parmi les fervents d’armes à feu).
 

2 - FAITS ADDITIONNELS :

Malheureusement, la série de petits événements qui conduisirent à l’événement catastrophique qui aurait lieu sur Dealey Plaza a débuté le mercredi après-midi du 20 novembre 1963. Warren Caster, directeur adjoint de la Southwestern Publishing Company qui avait ses bureaux au Dépôt à l’adresse au n° 411 dans Elm Street, avait acheté deux fusils pendant la pause de midi. Un fusil de calibre 22 à coup unique de type Remington, qu’il devait offrir à son fils pour Noël et un fusil de type Mauser, destiné à son usage personnel pour la chasse.
Sur un comptoir se trouvant juste à l’extérieur du bureau du superintendant Roy Truly , Caster montra fièrement les deux fusils à ses camarades employés. Selon le témoignage de Caster, étaient présents, " M. Shelly était là — et M. Roy Truly ". De plus, " il y avait même des ouvriers à ce moment là , mais je ne suis pas sûr du nombre. Je ne peux même pas vous indiquer leurs noms. Je ne connais pas les ouvriers du TSBD appartenant au département d’expédition ". Etait également présent, cependant, Lee Harvey Oswald. Oswald mentionna l’incident à la police de Dallas après son arrestation. Alors que Caster montrait les fusils, Oswald, probablement afin d’essayer de se lier à ses camarades employés (dans le but de se débarrasser d’une preuve d’implication), mentionna à un des employés du département d’expédition qu’ il possédait aussi un fusil et qu’il pourrait être en vente. Cet employé, selon toute vraissemblance était James Jarman, Jr., le préposé à l’emballage du département d’expédition. Jarman suggera probablement à Oswald qu’il apporte le fusil le lendemain et qu’il serait intéressé par l’achat de l’arme. Quand Oswald est apparu le jour suivant sans fusil, il a indiqué à Jarman qu’il lui manquait le moyen nécessaire pour transporter le fusil. Jarman, prestement en raison d’un intérêt manifeste pour l’arme, marcha vers son local d’emballage, déroula une longue feuille de papier d’emballage et, utilisant de la bande adhésive, construisit le sac de papier. Il l’a alors donné à Oswald. Oswald a plié le sac fait à la main (l’analyse de FBI découvrit plus tard huit traces de pliage sur le papier) d’une taille appropriée pour être glissé dans la poche de hanche ou pour être placé à la ceinture et aller son chemin. Etant retourné à son domicile dans la soirée avec son camarade ouvrier , Bull Wesley Frazier, Oswald empaquetta le Mannlicher- Carcano et renvenant le lendemain, encore avec Frazier, finalisa la vente avec Jarman. 

Malheureusement, la série de petits événements qui conduisirent à l’événement catastrophique qui aurait lieu sur Dealey Plaza a débuté le mercredi après-midi du 20 novembre 1963. Warren Caster, directeur adjoint de la Southwestern Publishing Company qui avait ses bureaux au Dépôt à l’adresse au n° 411 dans Elm Street, avait acheté deux fusils pendant la pause de midi. Un fusil de calibre 22 à coup unique de type Remington, qu’il devait offrir à son fils pour Noël et un fusil de type Mauser, destiné à son usage personnel pour la chasse.Sur un comptoir se trouvant juste à l’extérieur du bureau du superintendant Roy Truly , Caster montra fièrement les deux fusils à ses camarades employés. Selon le témoignage de Caster, étaient présents, " M. Shelly était là — et M. Roy Truly ". De plus, " il y avait même des ouvriers à ce moment là , mais je ne suis pas sûr du nombre. Je ne peux même pas vous indiquer leurs noms. Je ne connais pas les ouvriers du TSBD appartenant au département d’expédition ". Etait également présent, cependant, Lee Harvey Oswald. Oswald mentionna l’incident à la police de Dallas après son arrestation. Alors que Caster montrait les fusils, Oswald, probablement afin d’essayer de se lier à ses camarades employés (dans le but de se débarrasser d’une preuve d’implication), mentionna à un des employés du département d’expédition qu’ il possédait aussi un fusil et qu’il pourrait être en vente. Cet employé, selon toute vraissemblance était James Jarman, Jr., le préposé à l’emballage du département d’expédition. Jarman suggera probablement à Oswald qu’il apporte le fusil le lendemain et qu’il serait intéressé par l’achat de l’arme. Quand Oswald est apparu le jour suivant sans fusil, il a indiqué à Jarman qu’il lui manquait le moyen nécessaire pour transporter le fusil. Jarman, prestement en raison d’un intérêt manifeste pour l’arme, marcha vers son local d’emballage, déroula une longue feuille de papier d’emballage et, utilisant de la bande adhésive, construisit le sac de papier. Il l’a alors donné à Oswald. Oswald a plié le sac fait à la main (l’analyse de FBI découvrit plus tard huit traces de pliage sur le papier) d’une taille appropriée pour être glissé dans la poche de hanche ou pour être placé à la ceinture et aller son chemin. Etant retourné à son domicile dans la soirée avec son camarade ouvrier , Bull Wesley Frazier, Oswald empaquetta le Mannlicher- Carcano et renvenant le lendemain, encore avec Frazier, finalisa la vente avec Jarman.

L’état d’esprit d’Oswald à ce moment là était qu’il était heureux d’être débarrassé du fusil. Il est même possible de conclure qu’il essayait de rassembler sa vie. Craignant de perdre son épouse et sa famille en raison de son comportement érratique et dément des mois précédents (y compris sa tentative de tuer le Général Walker, dont Marina était au courant), il répondait aux plaintes de son épouse à propos du lavage du linge à la main en laissant tout son argent comptant, 170,00$, sur la coiffeuse avant de partir travailler le vendredi 22 Novembre.

Alors que le cortège présidentiel approchait de Dealey Plaza l’après-midi, Oswald était assis dans la salle de déjeuner du premier étage dans un semi-état de bonheur. Après avoir passé six mois à vivre dans la crainte qu’un beau jour, des détectives de police puissent apparaître à sa porte, prêt à l’arrêter, et l’emmène en détention pour la tentative de meurtre contre le Général Walker, il était maintenant libre de la seule pièce à conviction qui le condamnerait. Le Mannlicher-Carcano. L’état de bonheur d’Oswald, cependant, serait bientôt brisé. Ayant juste quitté la salle de déjeuner du premier étage pour acheter un coca cola à un distributeur automatique situé dans un salon du deuxième étage, il allait être confronté à l’officier de police de Dallas Marrion L Baker.

Selon toute vraissemblance, Oswald ne savait même pas que des coups de feu avaient été tirés sur le cortège Présidentiel au moment où il fut interpellé par l’Officier de Police Baker et l’ignora jusqu’ à quelques instants plus tard. Mme Reid, une secrétaire du TSBD, fit remarquer à un Oswald confus alors qu’ils se croisiaient et juste aprés qu’Oswald soit sorti du salon," Oh, on a tiré sur le Président, mais peut-être ne l’ont-ils pas atteint ! ". En apprenant ceci, quelque chose à la limite du phychotique se cassa probablement chez Oswald. Son intuition lui disait , d’autant plus qu’un officier de police armé s’était précipité à l’intérieur du dépôt, que le Mannlicher-Carcano qu’il avait vendu à Jarman seulement quelques heures plus tôt était
impliqué dans la fusillade. Tout espoir était perdu. A partir de ce moment là, Oswald perdit les pédales et cela aboutirait, environ quarante minutes plus tard, au tir mortel contre l’officier Tippit dans une rue du quartier résidentiel de Oak Cliff à Dallas.

Il est difficile déterminer où et quand James Jarman, Jr. fit l’acquisition du Mannlicher-Carcano d’Oswald, mais à la lumière des éléments étonnamment francs du témoignage de Jarman, l’échange a pu avoir eu lieu dans le matin de la 22 Novembre au premier étage. Quand l’attorney de la Commission Warren, Joseph Ball lui demanda, quand il avait rencontré Oswald ce jour, Jarman a répondu, " je lui ai fait corriger une commande. Je ne sais pas que quelle heure il était ". Une fois pressé de répondre par Ball, Jarman dit, " il était aux alentours de, c’était entre 8 et 9 heures je dirais ". Pour ce qui concerne une deuxième rencontre qu’il eut avec Oswald ce matin là, Jarman répondit " elle eut lieu entre 9h30 et de 10h00, je crois ".

Répondant à la question de Joseph Ball quant à savoir où cette réunion avait eu lieu Jarman dit, " entre deux rangées de casiers. Au premier étage ". C’est entre ces deux mêmes rangées de casiers, près des fenêtres de la facade frontale, que Jarman mangera son déjeuner, seul, juste avant midi. Il sera rejoint peu après à ce même endroit par Charles Douglas Givens (un membre de l’équipe de construction du plancher) et Harold Normand. Ce qui est tout à fait possible c’est que le fusil avait été caché dans ce même secteur au cours des heures de la matinée. Ensemble, ils quitteront le bâtiment, demeureront pendant quelque temps dehors devant le bâtiment et commenceront à marcher vers l’intersection de Elm street et de Houston street.

Quant à Jarman et à Normand, selon le propre témoignage de Jarman, ils tournèrent à gauche sur Houston street, se sont diriger vers le nord en longeant le côté du dépôt de livres et ont disparu de nouveau dans le bâtiment par une entrée arrière. Si le Manlicher-Carcano n’avait pas été au sixième étage à ce moment là, l’arme n’aurait probablement pas été récupérée entre les deux rangée de casiers au premier étage par Jarman et Norman et transportée, en empruntant le monte charge arrière ouest, jusqu’à la tanière de l’assassin au sixième étage. Après avoir déjà examiné Dealey Plaza et satisfaits que la plupart des employés du dépôt, particulièrement les surveillants, se trouvaient devant le bâtiment attendant impatiemment l’arrivée du cortège présidentiel, Jarman et Norman étaient tout à fait libres de leurs mouvements dans le bâtiment. Ils pourrraient même prendre quelques instants pour s’assurer qu’Oswald se tenait à l’écart. Oswald, assis dans la salle de déjeuner du premier étage en train de manger un sandwich au fromage et un morceau de fruit , fera état plus tard état de sa rencontre avec la police de Dallas.
Une fois au sixième étage, Jarman se familiarisera peu après avec l’arme en faisant des rechargements répétés du magasin de l’arme ( le FBI plus tard a conclu qu’au moins un étui de balle avait des marques indiquant qu’il avait été chargé et rechargé dans la chambre un certain nombre de fois) et se déplacant de fenêtre en fenêtre afin de déterminer le point de vue le plus clair. Bientôt, il se tiendra, avec le fusil adoptant une position de port d’arme de type militaire, à la fenêtre du coin de sud-ouest.

Observant de la rue en dessous se trouve Arnold Rowland. Au sujet des mouvements de Normand alors que Jarman scrute de la fenêtre du coin sud-ouest, Rowland témoignera plus tard devant un conseiller de la Commission de Warren, le représentant du Congrés Gerald R. Ford que, " lorsque j’ai vu l’homme dans l’autre fenêtre, j’ai vu d’abord l’homme se pencher hors de la fenêtre. C’était un homme de couleur, je pense ". Interrogé en outre par Ford, qui voulait que Rowland soit plus clair au sujet de l’homme se penchant hors de la fenêtre, Rowland a répondu, " l’Est, le coin du Sud-est ". Harold Normand faisait un dernier contrôle final pour s’assurer que leurs activités au sixième étage ne seraient pas perturbées. Bonnie Ray Williams , un participant très probablement peu disposé entre également dans la conspiration à ce moment là. Où et quand il est difficile de le déterminer, mais il pourrait très bien avoir fait irruption accidentellement sur la scène quand il est allé jusqu’ au sixième étage à la rencontre de Danny Arce et de Billy Lovelady, deux camarades d’étage membre de l’équipe charger de la mise en place du plancher qu’il avait prévu de rencontrer afin de regarder le cortège présidentiel. Sans en informer Williams, cependant, Arce et Lovelady s’étaient joints à la plupart des employés du dépôt en dehors du bâtiment et quand Williams est arrivé à l’étage, son déjeuner à la main, il s’est trouvé seul. Il était environ midi.

Quand l’avocat conseil Joseph Ball, lui demanda combien de temps il était resté à l’étage, Williams répondit, " j’y suis resté pendant 5, 10, peut-être 12 minutes ". En entendant le mouvement de la fenêtre se trouvant à l’étage immédiatement au-dessous de lui, Williams descendra au cinquième étage par l’ascenseur Est pour retrouver Jarman et Norman au coin Sud-est. Jusqu’ à ce moment, il est facile de conclure que Williams n’avait aucune connaissance préalable des événements qui étaient sur le point d’avoir lieu au sixième étage mais, qu’il l’ait voulu ou non, il en faisait partie maintenant. Autrement il n’aurait pas soutenu le témoignage de Jarman qu’il (Jarman) avait été au cinquième étage avec Norman et lui-même (Williams) au moment du tir.
Alors que la majeure partie des éléments de temps témoignés placent Williams au sixième avant Jarman et Norman, il est fortement probable que ces deux acteurs principaux dans la conspiration, après s’être rendu compte de la présence de Williams au sixième étage, aient créé une diversion qui entraînerait William hors de la tanière assassin du sixième étage. Jarman
et Norman ont tous deux témoigné qu’avant de quitter le premier étage à bord de l’ascenseur ouest, qu’ils " avaient scruté vers le haut l’axe de d’ascenseur " et observé que l’ascenseur Est se trouvait au sixième étage.
Pour le moins, ils savaient que quelqu’un se trouvait là haut. La diversion qu’ils emploieraient consisteraient simplement à faire connaître leur présence en faisant glisser des fenêtres juste en-dessous de l’endroit où Williams s’était assis. Cela a fonctionné, et William a rejoint alors le cinquième étage. Les événements s’intensifiaient maintenant à un niveau proche de la frénésie. L’adrénaline montant, Jarman et Norman gagnèrent la tanière de l’assassin au sixième étage.
En considérant que Williams fut au même étage de "midi à midi 5, 10, peut-être 12 minutes ", Jarman et Norman ont eu plus de quinze minutes pour achever les préparatifs finaux pour l’assassinat.

Quand le cortège Présidentiel a viré de Main street vers Houston street, Jarman était probablement déjà en place alors que Norman redescendait vers le bas pour rejoindre William au cinquième étage. Selon toute vraissemblance, si Williams n’était pas au courant du complot, pour le maintenir occupé quand Jarman accomplissait sa tâche à l’étage supérieur. Ce qui suivrait ensuite ne peut mieux être expliqué que par les propres déclarations de Jarman.

Alors que l’avocat conseil de la Commission de Warren, Joseph Ball,questionnait Jarman au sujet des trois coups de feu, Jarman écartait le premier coup de feu comme étant, " un retour de flamme ou un officier donnant un salut au Président ".

C’est la référence de Jarman au deuxième coup de feu, à moins que ce fut une idée trottant dans l’esprit d’un autre membre du conseil. Pendant que Jarman répondait à propos de ce coup de feu, " et alors le deuxième coup de feu a été tiré, et c’est quand les gens ont commencé à se coucher sur le sol et que la voiture présidentielle a sauté vers l’avant", le représentant du Congrés Gerald R. Ford écouta, jugea que ce seul rapport ne tenait pas et resta assis silencieux alors que 5 pages pleines de témoignage continuaient à être enregistrées. Environ quinze minutes. Dans son fond intérieur Ford savait que quelque chose clochait.

Ayant pris connaissance d’un film de la limousine présidentielle qui avait été pris par Abraham Zapruder au moment de l’assassinat, un film qui n’avait pas été rendu public et qui ne le serait pas pendant de nombreuses années, Ford savait que
la voiture " n’avait pas sauté vers l’avant ", comme Jarman l’avait indiqué, après que le deuxième coup de feu ait été tiré. L’agent William Greer n’accélèrera pas l’allure de la voiture jusqu’à ce que l’agent Clinton Hill ne bondisse de la voiture suiveuse pour aider Mme Kennedy (qui essayait de récupérer une partie du crâne de son mari) à regagner de nouveau le siège arrière après le troisième coup de feu, et après avoir trouvé une prise sûre au niveau de la partie arrière-gauche de l’automobile. Ce fut alors, et seulement à cet instant, que la voiture, et pour employer les mots de l’agent Roy Kellerman, " a littéralement sauté de cette sacrée route !! ".

Alors que le Représentant Ford continuait de rester assis en silence, une suspicion qui pouvait commencer à être formulée était qu’une cible pouvait donner l’illusion d’un" saut vers l’avant " à un assassin scrutant à travers une lunette de visée. La voiture n’avait pas bondi vers l’avant. Le fusil et l’assassin, en raison du recul, avaient été rejettés vers l’arrière. Le soupçon de Ford a été probablement confirmé quelques minutes plus tard après avoir entendu une réponse de Jarman à une autre question d’un autre membre du conseil, John J. MCLOY. MCLOY avait demandé, " Avez vous vu réellement le Président frappé par les balles ? ". La réponse de Jarman fut, " Non monsieur, je ne pourrais pas dire que je l’ai vu en fait atteint, mais après le deuxième coup de feu, j’ai supposé qu’il l’avait été, parce que j’avais l’oeil sur sa voiture depuis qu’elle était descendu de Houston street jusqu’ au moment où elle commença à se diriger vers l’autoroute ".

Encore une fois, le soupçon qu’avait Ford que Jarman était en train de décrire des événements vus à travers une lunette de visée de forte puissance fut confirmé quand il entendit Jarman utiliser le mot " oeil ", pas au pluriel, mais au singulier. Après avoir entendu Jarman répondre à la question de MCLOY"S, " vous l’avez vu s’éffondrer, vous l’avez vu tomber, n’est-ce pas ? ", en disant, " je l’ai vu pencher la tête ", le Représentant Ford n’en avait pas eu assez. Il l’interrompit en lui posant une question à propos de la déclaration que Jarman avait fait beaucoup plus tôt. L’échange suivant eut lieu entre Gerald Ford et James Jarman, Jr.

Représentant Ford : " vous avez réellement vu l’embardée de la voiture vers l’avant n’est-ce pas ? "
James Jarman : " oui Monsieur "
Représentant Ford : " C’est une impression claire ? "
James Jarman : " oui "
Représentant Ford : " et vous l’avez suivi alors qu’elle virait de Main street vers Houston street et vous l’avez suivi quand elle a viré de Houston street vers Elm street ?"
James Jarman : " C’est exact, Monsieur ".
Représentant Ford : " Avez vous eu tout le temps l’oeil sur la voiture ?"
James Jarman : " oui, Monsieur "
Représentant Ford : "D’où avez-vous pensé que le bruit du premier coup de feu provenait ? Avez-vous une impression distincte de cela ? "
James Jarman : " Eh bien il semblait à priori provenir de dessous. C’est ce que j’ai pensé
Représentant Ford : " Pendant que vous regardiez par la
fenêtre et que vous regardiez la voiture du Président "
James Jarman : "oui, Monsieur "
Représentant Ford : " Avez vous eu l’impression
distincte que le bruit venait de votre gauche ou
de votre droite ? "
James Jarman : " je suis sûr qu’il venait de la gauche"
Représentant Ford : " mais votre première réaction, était qu’il venait de dessous ? " James Jarman : " oui, Monsieur "
Représentant Ford : " quand le deuxième coup de feu est intervenu, avez-vous
un quelconque souvenir différent ? "
James Jarman : " Eh bien, ils ont tous retenti de façon à peu près identique "
Représentant Ford : "vous vous rappelez distinctement de trois coups de feu ? "
James Jarman : " oui, Monsieur "
Représentant Ford : " et à quel moment vous êtes vous levé de l’endroit où vous vous étiez agenouillé près de la fenêtre ? "
James Jarman : " quand l’automobile a pris de la vitesse " :
Représentant Ford : "
était-ce après ce que vous avez pensé être le troisième coup de feu ?"
James Jarman : " le troisième coup de feu ; oui ".
Représentant Ford : " N’avez-vous jamais eu des ennuis avec la police
ou des ennuis disciplinaires dans l’armée ? "
James Jarman : " non, monsieur ".

Nous pouvons seulement spéculer quant à savoir jusqu’où l’interrogatoire du Représentant Ford aurait conduit si un de ses camarades conseillers, Joseph Ball, ne l’avait pas interrompu à ce moment là pour entraîner Jarman dans un genre de questions complètement différentes et qui concernait le modèle des vêtements portés par Lee Harvey Oswald le jour de l’assassinat. Évidemment, Ford était tout à fait soupçonneux à l’encontre de cet employé du département d’expédition de 34 ans. En parlant en termes de boxe on peut dire que Ford avait mis Jarman dans les cordes juste avant l’interruption imprévue de Joseph Ball. De plus, il est probable pour conclure, que si on avait laisser faire le Représentant Gerald R. Ford , il aurait pu finir son interrogatoire, à sa convenance, avec, " M.Jarman, avez-vous tiré sur le Président John Fitzgerald Kennedy ? ". James Jarman, Jr., vu le niveau étonnant de franchise possédé par cet assassin, aurait simplement répondu , " oui, Monsieur ".


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